Protégé : Bords d’inlays en empreinte optique
avec Fabienne JORDAN
Fig 1. La préparation d’un inlay-onlay se réalise en tenant compte du matériau choisi pour la restauration finale. Tous les angles internes sont arrondis pour éviter les contraintes sur la céramique de reconstitution. En revanche, les bords périphériques peuvent être très fins et aigus.
|
Fig 2. Lors de l’empreinte optique, la lumière n’est pas correctement réfléchie, elle est le plus souvent diffractée, dû à la translucidité du substrat amélaire ainsi que sa finesse. |
Fig 3. On observe ici le manque d’information sous forme de « trous » ou de « barbules » visibles sur la prévisualisation en 3D, à l’étape empreinte optique, avant de lancer la modélisation. |
Fig 4. On recourt alors à un poudrage extrêmement léger, les quelques grains de poudre venant matifier la surface et renvoyer le rayon lumineux de la diode, en rajoutant le moins de volume possible. Le mouvement est rapide et la projection brève. |
Fig 5. On complète simplement la première empreinte, la nouvelle information vient se corréler à la première. Les bords sont parfaitement détectés. |
Fig 6. La prévisualisation est validée, l’empreinte optique est optimisée, on peut donc lancer le calcul des modèles virtuels de travail. |
Fig 7. Sur ce modèle de travail, le tracé est d’autant plus facile et quasi automatique, la variation brusque d’annulation sur la forme est aisément détectée par le logiciel de conception. |
Fig 8. La fonction biogénérique et l’usinage assisté par ordinateur amènent au résultat escompté. What you see is what you get… |