Protégé : Eviter le décollement des provisoires dans les restaurations partielles collées
avec Gauthier WEISROCK
Fig 1. Patient qui présente une douleur à la pression sur la 46. On note un amalgame volumineux, ancien et débordant. L’indication d’une restauration partielle collée est posée. |
Fig 2. Une empreinte en alginate de l’hémi-arcade est réalisée avant la dépose de l’amalgame, en vue de fabriquer un provisoire. |
Fig 3. Dépose de l’amalgame et mise en évidence d’une fêlure mésio-distale. On décide donc de réaliser un overlay pour recouvrir l’ensemble de la dent après un scellement dentinaire immédiat. |
Fig 4. Un provisoire en résine bis-acryl est confectionné par automoulage. Il permet, au-delà d’éviter des sensibilités éventuelles, de maintenir avec précision l’occlusion avec les dents adjacentes et antagonistes. |
Fig 5. Le provisoire est collé à l’aide d’un ciment de scellement provisoire (type TempBond®) ou semi-permanent (polycarboxylate). La préparation de la dent étant très peu rétentive et de faible hauteur, on constate très souvent des décollements. |
Fig 6. Afin d’éviter cet écueil, on place un adhésif de type Universel en vestibulaire sur le provisoire et sur la dent sans mordançage préalable. Il est séché puis photopolymérisé. |
Fig 7. Une goutte de composite flow est déposée au niveau du provisoire et de la dent. A l’aide d’une sonde, il est étalé avec précision puis photopolymérisé. |
Fig 8. La mise en place de ce composite flow va permettre une rétention supplémentaire efficace jusqu’au collage de la restauration partielle collée. Ce composite se dépose avec le provisoire et une curette parodontale, pour nettoyer parfaitement les excès sur la dent. |