Protégé : Finition des bords marginaux d’une facette collée
avec Stéphanie ORTET
Fig 1. Une lame de bistouri n°12, rendue inoffensive sur les 4/5ème de sa longueur, permet d’éliminer, après collage, les excès potentiels dans la zone cervicale d’une facette où l’usage d’instruments rotatifs est proscrit. En effet, leur utilisation altère la surface de la céramique et à proximité gingivale, il est pratiquement impossible de retrouver l’aspect poli initial de la restauration. |
Fig 2. Eviter lors de sa manipulation le risque de coupures. Préparée à l’aide d’une fraise multi-lames en carbure de tungstène, montée sur contre-angle rouge, la lame est maintenue active sur ses deux derniers millimètres, facilitant une bonne préhension de l’instrument. |
Fig 3. Eliminer la façon aisée et atraumatique les excédents sous-gingivaux. Associée à des points d’appuis efficaces, la lame est utilisée en mouvement de traction pour soulever les excédents résineux. |
Fig 4. Maintenir un aspect ultra-poli dans la zone du joint, sans lésion de la gencive. Similaire à l’émail, l’état de surface initial de la facette, obtenue en laboratoire, est idéal et bio-compatible avec la gencive qui viendra au contact de cette restauration. Il est donc impératif de préserver un aspect sans rugosité au niveau de cette jonction, directement impliquée dans le rendu esthétique final. |