Protégé : Gestion des effractions pulpaires
avec Gauthier WEISROCK
Fig 1. Echec de temporisation à l’IRM avec persistance de douleurs non spontanées exacerbées au froid. |
Fig 2. L’analyse radiologique nous montre une proximité pulpaire des restaurations provisoires, surtout au niveau de la 15. |
Fig 3. Après dépose des restaurations provisoires sous champ opératoire, une effraction pulpaire est mise en évidence. |
Fig 4. Le saignement pulpaire étant contrôlé, la cavité est désinfectée à l’aide d’une boulette de coton légèrement imprégnée d’hypochlorite. |
Fig 5. Du Biodentine est déposé sur l’effraction et légèrement « foulé ». Une attente de 8 à 10 min est nécessaire pour la prise complète du matériau. Les limites amélaires de la cavité sont préservées pour assurer une bonne étanchéité de la future restauration. |
Fig 6. Un composite direct est réalisé sur la 14 puis sur la 15. Un protocole d’adhésion standard est effectué sur le Biodentine. |
Fig 7. Résultat à 18 mois. La vitalité pulpaire est préservée et l’intégration esthétique des restaurations réussie. |
Fig 8. Une rétraction pulpaire avec la formation d’un pont dentinaire dû à la biocompatibilité du Biodentine est visible sur la 15 par comparaison avec la 14. |