Fig 1. Lors de l’empreinte implantaire, il est impératif d’enregistrer à la fois la position précise de l’implant mais également le profil gingival périphérique de ce dernier, ici en vue palatine.
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Fig 2. C’est grâce à la mise en oeuvre de la prothèse transitoire qu’il est possible de véritablement sculpter le profil gingival autour d’un implant. La difficulté réside, ensuite, dans son parfait enregistrement, pour le transmettre au laboratoire. |
Fig 3. La technique consiste à reproduire dans un premier temps la forme de cette gencive péri-implantaire : la dent provisoire est vissée sur un analogue d’implant, avant d’être enfoncée dans un silicone de type « putty ». |
Fig 4. Une fois le silicone durci, il faut repérer les faces vestibulaire et palatine sur ce dernier, avant de dévisser la couronne, afin de laisser l’analogue en place. |
Fig 5. A l’étape suivante, il faut remplacer sur l’analogue, la couronne par un transfert d’empreinte, ensuite, à l’aide de résine Patern GC assez fluide, remplir le cône d’émergence implantaire qui a été moulé par le transitoire dans le silicone, à l’identique du parodont péri-implantaire. |
Fig 6. Une fois la résine polymérisée, on doit identifier là encore les faces vestibulaire et palatine, dévisser le transfert d’empreinte qui se trouve enveloppé de cette résine durcie à la forme du profil d’émergence idéal et personnalisé. |
Fig 7. Au moment de la prise d’empreinte, il suffit alors de positionner correctement, grâce au repère, le transfert d’empreinte, qui vient parfaitement prendre sa place sans créer de compression sur cette précieuse gencive péri-implantaire et sans laisser le moindre espace ou défaut d’enregistrement. |
Fig 8. L’empreinte ainsi obtenue va simultanément permettre de donner au laboratoire toutes les informations nécessaires à la réalisation de la prothèse d’usage, tant au niveau du positionnement de la fixture implantaire, qu’au niveau de l’environnement parodontal et donc du profil d’émergence à donner à la future couronne. |