Protégé : L’empreinte sous digue
avec Olivier CHABRERON
Fig 1. Situation pré-opératoire avec présence d’anciennes restaurations défectueuses sur 16, 14 et 26 avec indications d’inlays-onlays. |
Fig 2. Les empreintes optiques de la situation pré-opératoire (les 2 arcades et l’occlusion) sont réalisées. Les empreintes sont sectorielles ou globales, en fonction de l’étendue des secteurs à traiter. Dans tous les cas, l’empreinte de la zone à traiter doit dépasser largement les dents concernées. |
Fig 3. Mise en place de la digue au niveau des secteurs à traiter, en veillant à étendre sa pose au-delà des dents concernées. L’utilisation d’une digue medium et de ligatures permet d’obtenir une bonne rétraction gingivale. |
Fig 4. Les anciennes restaurations sont déposées et la préparation des substrats peut être réalisée sereinement, à l’abri de la salive (ici sur un autre cas clinique) : éviction carieuse sélective, recherche de fissures, hybridation et substitution dentinaires … |
Fig 5. Situation clinique après préparation et avant empreinte. En CFAO directe, l’hybridation dentinaire immédiate n’est pas nécessaire, surtout lorsque comme ici la digue n’est jamais déposée tout au long du soin. . |
Fig 6. L’empreinte optique initiale de l’arcade à traiter est « découpée » au niveau des dents concernées. Il suffit de repasser la caméra d’empreintes sur la zone d’intérêt pour la recompléter avec la situation sous digue. La corrélation entre les 2 empreintes est obtenue grâce à la présence des dents adjacentes non traitées. |
Fig 7. Même basses, les limites sont parfaitement lisibles, grâce à la rétraction de la digue. Cela est également renforcé par le fort contraste de teinte entre la digue (bleue ou verte) et les tissus dentaires. |