Protégé : Optimiser une empreinte optique
avec Fabienne JORDAN
Fig 1. L’empreinte optique intrabuccale apporte, outre la précision avérée de l’enregistrement numérique, la rapidité d’exécution et la convivialité d’utilisation pour le praticien comme pour le patient, la possibilité de réintervenir instantanément et précisément à l’endroit en cause, sans perdre ce qui a déjà été mémorisé. |
Fig 2. Après avoir installé un Optragate de taille adaptée, on mémorise la portion d’arcade comportant la préparation et son environnement adjacent en effectuant avec la caméra intrabuccale un geste fluide et continu. Ci-dessus la prévisualisation obtenue. |
Fig 3. Ici 2 défauts sont repérés. 1 : la portion d’Optragate n’est pas utile pour le travail de conception à venir ; on la coupe simplement. 2 : la limite de la préparation n’est pas enregistrée en palatin, dû à un saignement en cours de scan. On supprime la zone concernée et on rescanne uniquement celle-ci après hémostase. |
Fig 4. On constate la qualité de l’empreinte finale complétée, ainsi qu’en transparence, la corrélation correcte avec l’enregistrement de la couronne provisoire, donnant de précieuses indications de design pour une intégration optimale. |
Fig 5. Le modèle virtuel obtenu permet une bonne visualisation du bord de la préparation, et facilite son tracé en vue de la réalisation de l’élément de restauration prothétique par le praticien ou le prothésiste. |
Fig 6. Notez également la qualité de définition du bord de la restauration sur la maquette virtuelle avant usinage. |
Fig 7. Sur cette autre empreinte optique à la mandibule, ceci est encore plus vrai : nous devons supprimer toutes les zones mobiles – plancher lingual, vestibule… -, car elles perturbent la corrélation des informations par différence de position entre le début et la fin du scannage. |
Fig 8. D’avoir pris le temps de nettoyer notre empreinte et de l’analyser soigneusement avant validation donne le modèle de travail virtuel le plus précis possible. |