Protégé : Relever les états de surface grâce à la photographie
avec Grégory CAMALEONTE
Fig 1. Vue de 3/4 (flashs déportés à droite, flash cobra, boîte à lumière) Déporter le flash de l’appareil photo et orienter la lumière permet de créer des contrastes. Plus la source lumineuse est grande, plus la lumière est « douce » et les textures sont mises en évidence. Peut être obtenu en collant des papiers sur des flashs déportés ou en utilisant des flashs cobra ou de studio sur lesquels on installe une boîte à lumière. |
Fig 2. Photo prise au fauteuil (flash au-dessus de la bouche). La lumière n’éclaire que ce qu’elle voit, les reliefs sont donc éclairés et les creux restent dans l’ombre. On voit donc parfaitement la macro-géographie des dents. |
Fig 3.Même méthodologie, avec un cadrage à 12h, même résultat. La macro-géographie est mise en évidence et l’on peut voir sur la 21 la micro-géographie à l’intérieur des parties concaves |
Fig 4. Flash positionné en face de la bouche, le fond blanc est réalisé avec un flash positionné à droite du patient. Même résultat : la macro-géographie est parfaitement mise en évidence. |
Fig 5. Photo prise au fauteuil (flash au-dessus de la bouche). Cette vue en noir et blanc, réalisée avec Adobe Photoshop©, met en évidence, en outre, la macro-géographie, la persistance de la micro-géographie, ou stries de Ritzius. |
Fig 6. Composites post-opératoires. Les différents positionnements de flash permettent une vision macro des états de surface, en particulier les lignes de transition et la macro sur la 21. |
Fig 7. Composites post-opératoires. Toujours par le jeu des flashs et des ombres obtenues, l’état de surface de la 11 et surtout la 21 apparaît très clairement. |
Fig 8. Facettes post-opératoires. Le contraste est adouci par l’utilisation de boîtes à lumière sur les flashs déportés. |